21 décembre 2017 – Le groupe Metall Zug a signé un accord pour l’acquisition de 70% de Haag-Streit Holding AG basée à Köniz, en Suisse. La transaction devrait être finalisée au premier trimestre 2018.

Haag-Streit est une entreprise de renom dans le domaine de la technologie médicale, en ophtalmologie (diagnostic et microscopie chirurgicale), pneumologie et optique. Le groupe Haag-Streit compte plus de vingt entreprises en Europe, en Amérique et en Extrême-Orient. Le siège principal se trouve à Köniz, en Suisse, et l’entreprise dispose d’autres sites de production en Suisse, en Allemagne, en Grande-Bretagne et aux États-Unis. Durant l’exercice 2016, l’entreprise qui compte 900 collaborateurs a généré un chiffre d’affaires de CHF 200 mio Haag-Streit constituera le quatrième département du groupe Metall Zug et se présentera de manière indépendante sur le marché, avec une marque toujours autonome. Le groupe Haag-Streit a réalisé durant l’exercice 2016 un résultat d’exploitation (BAIIDA) d’environ CHF 30 mio et une marge BAIIDA de près de 16%.

Metall Zug est un groupe d’entreprises industrielles dirigé à la manière d’un consortium qui a son siège à Zoug. Elle comptait fin 2017 trois départements et 4’000 collaborateurs. La holding Metall Zug AG est cotée au Swiss Reporting Standard de la SIX Swiss Exchange.

Walder Wyss conseille Metall Zug en sa qualité de conseil en lead sur tous les aspects juridiques de la transaction. L’équipe est dirigée par Alex Nikitine (associé, Droit commercial/Fusions et acquisitions) et comprend Valentin Wiesner (collaborateur, Droit commercial/Fusions et acquisitions), Hugh Reeves (collaborateur, Propriété intellectuelle/Technologies de l’information), Andreas Wildi (associé, Sciences de la vie, régulations), André Kuhn (collaborateur, Droit immobilier), Lukas Wyss (associé, Droit bancaire et financier), Marion Bähler (collaboratrice, Droit commercial/Fusions et acquisitions), Fabian Looser (collaborateur, Droit du travail), Annemarie Lagger (collaboratrice, Propriété intellectuelle/Technologies de l’information) et Daniel Zimmerli (collaborateur manager, Anti-trust).